Ce qui est sans commencement ni fin rend hommage au moebius, cet anneau qui vrille et fait que ce qui est au début devient à la fin, ce qui était dessus devient dessous, ce qui était l'endroit devient l'envers, un peu comme cette bouteille de Klein qu'Anathaniel GAUSMAN a déposée incidemment et où on ne sait plus très bien où est le dedans et le dehors ...
Le départ de l'exposition est aussi sa fin, mais augmentée du parcours : le piano simple de Philippe KODEKKO s'est transformé en création musicale autour du chant de Mariaka NISHI (composition de 1982 !) ; le visiteur a parcouru de l'humain vers l'ange un chemin qui lui soit aussi intime et personnel
Nous avions voulu cette fin de parcours comme une piste d'envol, le retour au début est un surplace pour s'envoler ... vers là où le chemin du voyageur l'a emmené ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire